Une pasionaria de la haine religieuse condamnée pour corruption
Ursula Caberta, l’un des principaux auteurs de violations des droits des scientologues en Europe, a été prise en flagrant délit au moment où elle recevait 75 000 $ d’un adversaire américain de l’Église de Scientologie à titre de « prêt privé ». Le tribunal administratif de Hambourg prend cette affaire très au sérieux.
Les juges de Hambourg ont en effet interdit à Mme Caberta, haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, de continuer à diffuser une demi-douzaine d’allégations diffamatoires et mensongères faites en public.
Ce faisant, ils ont exprimé de sérieux doutes sur sa « neutralité » en tant que fonctionnaire, tant dans ses actions que dans ses déclarations officielles concernant l’Église, à la lumière de ce versement de 75 000 $ par un adversaire de l’Église internationalement connu.
De plus, le jugement reproche sévèrement son inaction au ministère de l’Intérieur et ordonne à ses supérieurs d’interdire à Mme Caberta de dénigrer l’Église dans ses déclarations, puisqu’elle ne peut plus être considérée comme impartiale. De plus, elle a été condamnée à rembourser les 75 000 $ en totalité (de sa poche), et à payer une amende de 7 500 €.