injustice sociale ne peut être résolue en un jour, surtout lorsquelle est ancrée depuis des dizaines dannées. Tandis que lAfrique du Sud aborde sa troisième année de nation unie et démocratique, il lui reste encore de nombreux problèmes à résoudre. Parmi ceux-ci figure le problème de léducation.
Le Plan de Santé du Congrès National de 1994 a rapporté que les noirs représentent 95 % des dix-huit millions de personnes qui vivent en-dessous du niveau minimum de vie (216 dollars US par mois et par famille) avec 60 % dentre-eux vivant dans la plus totale indigence. Le manque déducation est un problème primordial, avec trois millions dadultes analphabètes.
Le système déducation déficient auquel ont été soumis les sud-africains Noirs pendant les cinquante dernières années résulte directement des
théories psychiatriques erronées sur lesquelles sappuya lapartheid.
En 1927, le psychologue sud-africain M. L. Fick écrivit : « Linfériorité de lindigène (africain) en termes déducation, démontrée par lexamen de ses résultats, limite considérablement la proportion dindigènes pouvant bénéficier dun enseignement normal à part une éducation des plus rudimentaires. »
Un autre texte de psychologie déclara : « Les tests psychologiques... démontrent clairement que linfériorité observable du nègre est telle quaucun effort déducation ou détablissement dun environnement favorable ne pourra la résoudre. »
Pendant les années quarante, le Docteur Hendrik Verwoerd, premier ministre dAfrique du Sud, connu pour avoir été larchitecte de lapartheid, était aussi psychologue. Il ajouta à lidéologie erronée et raciste de lépoque lidée quil était nécessaire de sassurer quon empêcherait aux noirs dAfrique du Sud de recevoir une meilleure éducation. Sadressant au Parlement en 1943, il dit que lAfrique du Sud serait perdue si elle permettait à lindigène « daméliorer ses compétences, obtenir un meilleur salaire et un meilleur marché au sein de lAfrique du Sud blanche ».
Ainsi, linégalité fut volontairement instaurée dans le système éducatif sud-africain.
Lorsque Ron Hubbard,
le fondateur de la Scientologie, se rendit en Afrique du Sud dans les années soixante, il prit conscience du
problème du système déducation et recommanda que des mesures soient prises pour
améliorer le niveau déducation de la population noire.
Cest ce quentreprit lÉglise, et elle a souvent été critiquée par les dirigeants du gouvernement de lapartheid à cause de cela; mais les scientologues nont pas cessé depuis de mener à bien
des projets déducation longtemps avant que cela ne devienne à la mode.
Ron Hubbard avait déjà effectué de nombreuses recherches dans le domaine de léducation, et à partir de celles-ci, il mit au point
une technologie précise permettant
détudier nimporte quel sujet avec cette technologie, une personne peut non seulement
comprendre ce quelle étudie, mais elle peut appliquer avec compétence ce quelle a étudié
dans
son travail et dans
sa vie.
Ces découvertes furent appelées
La technologie
de létude et offrent pour la première fois une méthode qui
fonctionne parfaitement et qui enseigne exactement à quelquun comment apprendre.
Pour multiplier les projets déducation en Afrique du
Sud, des scientologues fondèrent en 1975 un mouvement connu sous le nom de Education
Alive (éducation vivante).
Aujourdhui, plus de 3 700 enseignants et 29 000
étudiants en Afrique du Sud ont été formés à la Technologie de
létude. En outre, plus dun million et demi denseignants et
détudiants ont participé à des stages. Des résultats spectaculaires
ont changé la vie de beaucoup de personnes qui ont appliqué cette technologie, et un
enseignant a écrit : « Elle ma sauvé, elle a sauvé la vie de
nombreux élèves, étudiants et enseignants, ainsi que demployés. Je
rends honneur à L. Ron Hubbard et à ses successeurs pour le travail quils ont
accompli pour lenfant africain. Tous ceux qui ont entendu ces conférences ont soif
den entendre dautres et en même temps sont pressés daller dans le
monde faire lexpérience de ces merveilleuses méthodes
denseignement. »
Des projets déducation similaires utilisant la
Technologie de létude ont aussi été réalisés par
lAssociation des ministres bénévoles de
lÉglise de Scientologie en Afrique du Sud avec des résultats miraculeux.
Pour ne citer quun exemple, Mme P.W.
Mathopa avait travaillé pour les services pénitentiaires de Johannesburg pendant vingt et
un ans. Elle était compétente, mais navait jamais été promue parce
que son anglais nétait pas suffisamment bon pour passer lexamen qui lui aurait
permis de bénéficier dun avancement.
Lorsquun ministre eut effectué un programme pour le
personnel et les détenus de létablissement, Mme Mathopa
déclara : « Jai été surveillante pendant vingt et un ans. Jai
essayé de faire plus, et surtout détudier. Mais tout cela en vain ! Jusquen
1994, lorsque le Colonel van der Merve a fait venir des membres de lAssociation des ministres
bénévoles pour nous aider en communication. Cela nous a aidés à
améliorer notre vie, nous comprendre mieux les uns les autres, et être amicaux et patients.
Et en plus jai pu passer mes examens de promotion grâce aux méthodes
détude enseignées par les membres de lAssociation des ministres
bénévoles ! »
Un jeune homme exprima avec éloquence la joie ressentie par
de nombreux noirs dAfrique du Sud lorsquils eurent acquis laptitude à
étudier : « Je ne connaissais pas la vraie raison pour laquelle je ne
mintéressais pas vraiment à mes études, écrivit-il, et
pourquoi elles mennuyaient. Cela me demandait un réel effort de prendre un livre et de
lire. Jétais un jeune homme énergique, très éveillé. Puis les
choses semblèrent se retourner contre moi. Je me dis que javais été
ensorcelé. Cétait peut-être vrai mais cela napportait pas de solution
à mon problème. Je ratai mes examens de fin dannée en première
année à luniversité. En deuxième année, je fus
renvoyé. A présent jen étais sûr : quelquun était en
train de mensorceler. La seconde raison que jinventai est que la situation venait de ce que
nous étions opprimés et que nos compatriotes blancs ne nous aimaient pas. Mais
quoiquil en soit, mes performances personnelles nétaient pas brillantes. Puis un
ministre scientologue fit son apparition dans ma vie et changea tout cela grâce aux
compétences que je pus acquérir avec la technologie de létude de Ron
Hubbard. Jai décidé dêtre moi-même un ministre
bénévole et mon but est daider les millions de personnes qui ont des
problèmes dans leurs études et dans la vie en général. »
Pour plus de renseignements sur des projets
déducation en France, adressez-vous à
Christine Lefort
7, rue Jules César,
75012 Paris.
Tél. (1) 44 74 61 68.
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