« On PEUT y faire quelque chose »
Les volontaires, très connus depuis le 11 septembre, mettent leur devise en pratique à Bruxelles et dans le reste du monde
En plus d’aider les gens dans la vie de tous les jours, les Ministres volontaires portent aussi secours dans les régions dévastées par des catastrophes naturelles ou créées par l’homme. Ci-dessus : En Hongrie, après les inondations cette année; de haut en bas : au Nicaragua à la suite de l’ouragan Mitch ; en travaillant avec la police aux États-Unis ; lors des feux de broussaille près de Sydney en Australie, en décembre 2001. |
Aujourd’hui, l’inquiétude croissante du terrorisme, la menace de la guerre, l’abus effréné des drogues et l’immoralité, ont rendu la vie quotidienne peut être plus difficile et plus stressante qu’à n’importe quel moment du passé. Pour aider à calmer ces flots tumultueux d’insécurité, le corps des Ministres Volontaires de Scientologie continue de s’agrandir pour répondre à la demande et rétablit les valeurs spirituelles dans la société en aidant les gens d’une manière pratique.
Parmi les outils les plus fréquemment utilisés de leur activité figurent les « procédés d’assistance » (« assists »), des techniques simples pour apporter un soulagement spirituel aux douleurs physiques et émotionnelles, aux traumatismes et au stress. Ils ne remplacent pas une assistance médicale, mais s’adressent à l’aspect spirituel de ces conditions – aider une personne à se remettre d’une opération, sauver un mariage en échec, ou aider une personne ivre à se dégriser.
Les Ministres Volontaires utilisent les assists et d’autres compétences dans tous les domaines de la vie, que ce soit à la maison, au travail, ou dans la conduite de leurs affaires quotidiennes — partout où l’aide est nécessaire.
Des milliers de Belges on pu récemment expérimenter une ou plusieurs de ces compétences par eux-mêmes lorsqu’ils ont visité la tente jaune qui fait le tour de l’Europe sous de grandes bannières intitulées « On PEUT y faire quelque chose ». Ce séjour à Bruxelles fait partie d’une grande action d’information publique entreprise par les Ministres Volontaires ; ce tour a offert de l’aide sous de nombreuses formes, dans l’esprit du corps de volontaires et agissent entièrement en tant que service au public, gratuitement et sans obligation.
« J’ai senti une tranquillité physique et mentale, » a dit un visiteur qui avait reçu un assist. « C’était un sentiment de communication spirituelle. »
« J’ai reçu un assist qui était très relaxant, » a dit un autre. « Il y a aussi d’autres choses ici qui sont excellentes, comme un programme pour aider les consommateurs de drogues.”
« J’avais quelques douleurs auparavant à cause de mon travail, » a dit un homme. « Je porte des charges lourdes. Après mon assist, j’avais beaucoup moins mal. »
« Je voudrais remercier les Ministres Volontaires de tout mon cur pour ce merveilleux assist, » a dit une visiteuse. « Cela a changé mon humeur mentale et physique. Je me sens régénérée. Merci beaucoup! »
Volontariat mondial
Les Ministres Volontaires, comme ceux de Bruxelles, forment le pivot d’un réseau mondial débuté en 1976 en Afrique du Sud et comprenant aujourd’hui 15.000 volontaires dans beaucoup de pays, de l’Australie à l’Autriche, du Canada au Congo.
Le programme des Ministres Volontaires a commencé suite à l’observation du fondateur de la Scientologie,
Les Ministres Volontaires de Scientologie acquièrent de nombreuses compétences toutes fondées sur des principes issus de la religion de Scientologie, afin d’aider les autres dans presque n’importe quelle situation : convalescence suite à un accident ou une maladie, surmonter une perte ou un choc, résoudre un conflit, aider un enfant dans ses études, et de bien d’autres façons. (Il n’est pas nécessaire d’être un ministre de Scientologie pour apprendre et utiliser ces compétences.)
Parmi les techniques de Ministre Volontaire les plus utilisées se trouvent les assists. Ils sont basés sur le principe qu’au moment d’une blessure, d’une maladie, d’une douleur émotionnelle ou d’un choc, une personne a tendance à se retirer mentalement de la zone blessée ou de l’environnement dans lequel elle a été blessée ou traumatisée. Mais en remettant l’individu en communication avec son corps et son environnement, il se remet plus rapidement, parfois de manière spectaculaire.
Le plus souvent, les Ministres Volontaires travaillent individuellement dans leurs communautés, aidant les personnes blessées ou malades, enseignant aux enfants l’aptitude à étudier, ramenant des adolescents entêtés sur le droit chemin, résolvant les disputes au travail et à la maison, aidant des associés à mieux organiser leurs vies ; ils prêtent assistance sous d’innombrables autres formes.
Cependant, dans les dernières 15 à 20 années, ils se sont faits remarquer le plus lorsqu’ils portaient secours dans chaque lieu possible où une catastrophe, soit naturelle que causée par l’homme, s’était produite – depuis les régions déchirées par la guerre en Bosnie, aux tremblements de terre qui ont frappé la Turquie, jusqu’au tsunami qui a ravagé la Nouvelle Guinée Papua.
Lorsque les Russes ont envahi la Tchétchénie en 1999, plus de 250 000 habitants ont dû se réfugier dans des camps non loin de Ingushetia ; les Ministres Volontaires, travaillant avec des fonctionnaires du gouvernement dans le Ministère des Secours, ont visité les camps de réfugiés et ont donné plus de 1.500 assists, tout en apprenant à 1.500 autres personnes comment les administrer.
Apporter de l’aide au « Ground Zero »
Le réseau a obtenu une reconnaissance internationale depuis le 11 septembre 2001, après qu’environ 800 volontaires étaient entrés en activité lors de la tragédie terroriste à New York durant les semaines du sauvetage et des opérations de secours.
Les Ministres Volontaires ont travaillé sans interruption pour fournir nourriture, boissons, vêtements, équipements de sécurité et autres nécessités physiques aux équipes sur les montagnes de décombres. Ils ont donné des assists à des policiers et pompiers épuisés, affaiblis par le stress, la fatigue et le choc, les ramenant dans le présent plutôt que dans l’horreur des débris du World Trade Center. Ils se sont aussi déployés à travers la ville, apportant du réconfort à ceux dont les amis et la famille avaient péri dans la tragédie.
Le succès des résultats a été évident grâce à la gratitude des dirigeants de la ville.
« L’organisation, le souci et le dévouement de vos Ministres Volontaires ont été exceptionnels et fortement appréciés, et resteront longtemps gravés dans la mémoire de ceux qui ont été aidés », a écrit le chef de police de New York, Joseph Esposito, dans les semaines qui suivirent les efforts de secours. « Je ne pourrais pas remercier assez les Ministres Volontaires. »
L’équipe des Ministres Volontaires continue à grandir et à porter secours dans le monde entier.
Lorsque le volcan Nyiragongo est entré en éruption au Congo en janvier 2002, déversant des rivières de lave de 60 mètres de largeur à travers la ville de Goma, par exemple, 150 Ministres Volontaires de ce pays et de son voisin, le Rwanda, se sont mobilisés pour aider une partie du demi-million de résidants évacués.
Ou en Australie orientale, où des feux de broussailles ont fait rage pendant des semaines à la fin de 2001, des Ministres Volontaires ont soutenu des milliers de pompiers, donnant plus de 700 assists et fournissant de l’eau, de la nourriture et d’autres biens de première nécessité. Lors d’une cérémonie à Sydney, le premier ministre de la Nouvelle-Galles du Sud les a remerciés pour leur travail, ainsi que pour celui des pompiers, de la Croix-Rouge et d’autres organisations de secours.
Suite à la prise en otage de 700 civils par des terroristes Tchétchènes qui s’est terminée par un raid militaire, des Ministres Volontaires, travaillant sous l’autorité du Ministère de l’Intérieur ont délivré des assists aux survivants dans les hôpitaux locaux, en les aidant à se remettre du choc, du traumatisme et de la perte liée à la tragédie.
Les Ministres Volontaires obtiennent des résultats tous les jours, dans toutes sortes de circonstances et accomplissent pleinement leur devise : « On PEUT y faire quelque chose. »
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