Cinq décennies de défense des droits de l’homme
« Nous, membres de l’Église croyons :
Que tous les hommes, quelles que soient leur race, couleur ou croyance, ont été créés avec des droits égaux. »
Le Crédo de l’Église de Scientologie
Les droits de l’homme sont fondés sur le principe du respect de l’individu, de sa liberté de pensée, d’expression et de religion, de la liberté de se réunir pacifiquement et de s’associer, d’être libre de l’esclavage et de la torture, d’avoir droit à une justice équitable et à une éducation, d’avoir droit à la vie, à la liberté et à la sécurité.
L’Église de Scientologie s’est battue dans de nombreux pays du monde depuis cinq décennies pour défendre ces droits ainsi que d’autres droits fondamentaux de l’homme.
Parmi les nombreux exemples d’actions des scientologues dans le domaine des droits de l’homme, certains sont tout particulièrement à souligner pour leur envergure.
Au milieu des années 70, les scientologues d’Afrique du Sud avaient découvert des preuves que des centaines de patients psychiatriques noirs étaient détenus dans des conditions inhumaines et utilisés comme esclaves dans des camps secrets. Au prix de risques personnels considérables, ils avaient publié une série de rapports d’envergure dans « Freedom ». Le gouvernement régi pav l’apartheid avait déclaré criminel pour n’importe quel média de publier quoi que ce soit sur les institutions psychiatriques du pays. L’Église avait alors communiqué les preuves qu’elle détenait aux Nations unies, à la Croix Rouge et à l’Organisation Mondiale de la Santé, et une enquête indépendante allait ensuite confirmer ses affirmations.
Les scientologues ont continué de condamner ces camps mais ça n’a été qu’après la fin de l’apartheid que les responsables du gouvernement d’Afrique du Sud ont fini par s’intéresser à ces abus. En 1995, le Ministre de la Santé a ordonné une enquête gouvernementale dans les institutions psychiatriques du pays. Cette enquête a conduit à une charte formulant les droits des patients.
Dans les années 70 et 80, en utilisant les lois sur la liberté d’information, les scientologues mettaient au grand jour un programme gouvernemental secret des États-Unis, du Canada et de la Grande-Bretagne dans lequel des armes de guerre chimiques et biologiques étaient testées sur des militaires et des civils sans que ceux-ci n’en aient été informés. L’Église s’est assurée que les survivants de ces programmes de tests étaients localisés et secourus et a entamé une campagne afin de bannir l’utilisation de telles armes. Grâce à leurs efforts aux États-Unis, un ordre présidentiel a été envoyé à l’Armée afin de détruire des stocks entiers d’un agent chimique particulièrement dangereux.
L’Église et les maisons d’édition de « Freedom » dans le monde entier ont depuis longtemps utilisé la loi sur la liberté d’information pour rendre des milliers de pages d’information accessibles au public.
À Sydney, en Australie, dans les années 80, les scientologues et un groupe appuyé par l’Église (Citizens Commission on Human Rights — la Commission des Citoyens pour les droits de l’Homme) ont enquêté sur les morts et les abus dans l’hôpital psychiatrique de Chelmsford. Plus de 1100 patients avaient vécu l’enfer du « sommeil profond », un état de coma médicamenteux pouvant durer plusieurs semaines pendant lesquelles les patients se faisaient administrer des électrochocs, souvent sans qu’ils en aient connaissance ou qu’ils y aient consenti.
Le gouvernement a alors désigné une Commission Royale afin d’enquêter sur le problème. En décembre 1990, la commission a publié son rapport qui a trouvé que 977 personnes avaient été victimes de dommages cérébraux et que 48 étaient décédées à la suite du traitement subi à Chelmsford. Les réformes qui ont suivi allaient comprendre des dédommagements pour les 200 patients survivants, la rédaction d’une déclaration des droits du patient et la mise en place d’une Commission des Plaintes Médicales dans la plupart des États d’Australie.
Dans les années 1990, les scientologues ont enquêté sur les sources du génocide dont ont été victimes les peuples bosniaques et croates. Ils ont interviewé des survivants des programmes de purification ethnique et d’autres dans les régions dévastées par la guerre. Leurs conclusions ont été publiées dans les éditions européennes, australiennes et américaines de « Freedom ».
En septembre 1999, des représentants du Conseil de l’Europe signaient une résolution appelant tous les États membres à entreprendre une démarche vitale afin d’éviter que la tragédie des Balkans ne se répète, leur conseillant vivement « d’étudier le rapport d’enquête rédigé par le chapitre français de la Commission des Citoyens pour le Droits de l’Homme (une organisation créée par l’Église de Scientologie en 1969 afin d’enquêter et de dénoncer les violations des droits de l’homme commises par la psychiatrie). »
Les scientologues ont occupé le devant de la scène en dénonçant les crimes et abus des membres de certains groupes extrémistes antireligieux aux États-Unis, en Europe et ailleurs. Leur travail a permis d’aboutir à l’arrestation et à la condamnation de plus d’une douzaine d’auteurs d’enlèvements, d’agressions et d’autres crimes — ainsi qu’à faire en sorte que justice soit faite pour un grand nombre de personnes et de groupes. Les scientologues des États-Unis, travaillant avec un grand nombre de représentants d’autres croyances, ont également mis sur pied la « Semaine de la Liberté Religieuse » — commémorée pour la première fois en 1988 par le Président des États-Unis.
On parle beaucoup des droits de l’homme dans le monde. Cependant, dans la réalité, ce monde reste encore très éloigné de l’esprit de la Déclaration Universelle.
L. Ron Hubbard, le fondateur de la religion de Scientologie avait écrit un jour que : « Les droits de l’homme doivent devenir un fait, non un rêve idéaliste. » Les scientologues sont bien décidés à faire en sorte que les droits de l’homme deviennent effectivement une réalité à travers le monde.