ANS le chapitre cinq du Livre deux de La Dianétique : La puissance de la pensée sur le corps, vous trouverez une première protestation contre les électrochocs
et la chirurgie psychiatrique. Ces méthodes y étaient décrites
comme posant beaucoup de problèmes dans le domaine de la guérison
mentale.
C’était en 1950. Moins de trois mois après sa parution, le livre
allait subir des attaques violentes et irrationnelles de la part
de lobbies psychiatriques.
À la fin des années 50 aux États-Unis, des psychiatres avaient
tenté de faire passer un projet de loi dit projet Sibérie1, et celui-ci était déjà en bonne voie d’adoption par le Congrès.
L’Église fondatrice de Scientologie à Washington qui eut vent
de ce projet de loi, mobilisa immédiatement des groupes civiques
américains et le fit échouer.
Ceci valut à la Scientologie de devenir l’ennemi à abattre aux
yeux de ces aliénés.
En 1968 encore, le même lobby psychiatrique international essaya
de faire adopter par le parlement de Nouvelle-Zélande le même
projet de loi Sibérie.
Kenneth Robinson, ancien ministre de la Santé du Royaume-Uni et
vice-président d’une branche de ce même groupe d’influence psychiatrique,
causa, quant à lui, des ennuis aux Églises de Scientologie d’Angleterre.
Dans son livre, publié sous l’égide de son groupe, Robinson préconise personnellement
que quiconque au Royaume-Uni puisse être facilement saisi et envoyé
dans des camps de la mort.
Des chaînes de journaux, dirigées par des hommes qui étaient également
à la tête du groupe d’influence psychiatrique, Cecil King et Sir
William Carr, n’ont cessé de s’acharner sur la Scientologie, de
réclamer des actions officielles, ainsi que d’essayer de créer dans l’opinion publique un courant
anti-Scientologie et de supprimer celle-ci.
C’est par toutes les autres actions hostiles menées à l’encontre
de la Scientologie qu’il a été possible de remonter pas à pas
jusqu’à eux.
Depuis une vingtaine d’années, la Scientologie mène une bataille
ininterrompue et victorieuse en faveur des droits de l’homme.
Et durant ces années, on n’a pas trouvé un seul délit dû à la
Scientologie.
Tandis que la psychiatrie a arrêté et tué des dizaines de milliers
de gens qu’elle n’aimait pas.
On dit que la Scientologie brise des familles. Elle ne les brise
pas. Mais quand des psychiatres violent et tuent les épouses d’autres
hommes, ils appellent cela un traitement nécessaire.
On a maintenant établi que tous les types de crime dont ce lobby
psychiatrique accuse les scientologues font partie de ses pratiques
courantes.
Étant légèrement au-delà de la folie, ces types sont en train
de monter l’opinion publique contre un groupe innocent pour mieux
détourner l’attention de leurs propres activités brutales et perverses.
En accusant quelqu’un d’autre de ces choses là, ils pensent que
le public va croire que le psychiatre est un parangon de vertu
noble et dévoué au public.
Le public ne s’y trompe pas. Il déteste la psychiatrie. 47 % des
gens qui souffrent de troubles psychiques vont voir un homme d’Église.
28 % vont voir leur médecin généraliste. Le psychologue et le
psychiatre, eux, n’obtiennent que 16 % du marché.
Pour élargir leur sphère d’influence, les psychiatres (voir le
rapport technique 98 de l’ONU) prévoient d’éliminer toutes les
Églises du domaine de la guérison mentale.
La Scientologie est leur première cible. S’ils gagnent, ils s’attaqueront
aux autres Églises et pourront ainsi bâtir leur empire.
La seule énigme dans tout cela, c’est de savoir comment les psychiatres
influencent les gouvernements.
Par la terreur ? En faisant chanter les hommes politiques grâce
aux renseignements tirés des confessions de leurs femmes ? En
retenant des membres de leur famille en otage ? Par la corruption ?
Le psychiatre, qui ne traite quasiment personne sur ce marché, obtient pourtant chaque année des centaines de millions des gouvernements
de par le monde. En échange, il n’apporte aucun service, il blesse
ou tue ses patients, cherche à faire arrêter n’importe qui selon
son bon plaisir, et, étrangement, il semble être à l’abri d’une
inculpation pourtant justifiée pour homicide. Même un médecin
n’est pas autorisé à tuer les gens.
Comment les Alliés pourraient-ils pendre les Allemands à Nuremberg
pour ces crimes tout en consacrant des fonds considérables à installer
leurs propres camps de la mort ?
La Scientologie continue à exiger le respect des droits de l’homme
pour tous et continue à défier ces groupes d’influence psychiatriques.
Le monde d’aujourd’hui ne tolérera pas des violations des droits
aussi flagrantes que celles que les psychiatres réclament. Le
monde d’aujourd’hui ne tolérera pas de camps de la mort, d’expérimentations
sur des êtres humains, de tortures ni de meurtres.
Les scientologues se battent contre cela et se battront jusqu’à
la victoire finale et totale sur ces puissances du mal.
Un jour, même la presse, même les hommes politiques, se réveilleront
en disant : « Hé ! Mais ce sont eux les gentils ! »
Ou alors, c’est que la presse et les hommes politiques sont les
méchants depuis le début.
Ce siècle a encore un long chemin à faire.
Le public a déjà réalisé que les scientologues sont des gens bien.
1. Ce projet de loi visait à créer un centre psychiatrique dans
les régions désertes de l’Alaska et à introduire une procédure
d’internement forcée. Il fut surnommé projet Sibérie par analogie avec les goulags soviétiques.
