Y a-t-il un lien entre la mort de la princesse Diana et les drogues psychiatriques prises par son chauffeur ?
uelques semaines après la tragédie du quai de lAlma, la perte de la princesse dont lhumanité transcendait les barrières nationales, politiques et sociales touche encore le cur de millions de personnes.
Princesse, mère, et avocat déclaré des plus vulnérables, des rejetés et des ignorés, sa mort est dautant plus tragique quelle est survenue au moment où ses espoirs de bonheur semblaient finalement sur le point de se réaliser.
Aucune excuse ne peut être trouvée aux paparazzi pour leur façon dagir, mais la présence de drogues psychotropes modifiant lhumeur parmi les facteurs de ce terrible accident ne doit pas rester cachée.
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Dans le vide laissé par sa disparition, nous assistons maintenant au spectacle de coupables qui se rejettent la responsabilité les uns aux autres. Les paparazzi accusés dhomicide ont apparemment trouvé de quoi se réjouir avec la découverte dans le sang dHenri Paul dun taux dalcool élevé.
Quelle que soit la conclusion de la justice, nous ne saurons peut être jamais sil y a eu une cause prédominante ou unique à ce tragique accident, ni ce quelle fut. De tous les facteurs connus à ce jour, le plus troublant fut le moins souvent évoqué : Henri Paul navait pas seulement bu ; lautopsie a également révélé la présence dans son cerveau dune drogue psychiatrique meurtrière, connue pour causer des actes de violence imprévisibles et une conduite autodestructrice.
« Une recherche des produits chimiques toxiques dans le sang a révélé des niveaux thérapeutiques dune médication dont un ingrédient actif est la fluoxétine, a indiqué le bureau du procureur de Paris. La fluoxétine est lingrédient de base de leuphorisant Prozac.»
Le Dr Michael Craplet, expert français, a noté que leuphorisant aggravait les effets de lalcool absorbé par le c hauffeur et, combiné avec la vitesse de la voiture et le stress, multipliait par mille le risque daccident.
Aucune excuse ne peut être trouvée aux paparazzi pour leur façon dagir, mais la présence de drogues psychotropes modifiant lhumeur parmi les facteurs de ce terrible accident ne doit pas rester cachée.
Le Prozac a-t-il déclenché un besoin auto-destructeur chez M.Paul, lui faisant perdre tout sens de la vitesse à laquelle il roulait ? La drogue avaitelle déjà altéré de façon insidieuse sa personnalité, avec les symptômes violents et agressifs que les psychiatres décrivent comme des effets secondaires de la prise de Prozac ? Nous ne le saurons peut-être jamais. Mais pourquoi les tests sanguins ontil aussi révélé la présence dune autre drogue, le Tiapridal censé être un remède à lagitation et l agressivité induites par les effets secondaires du Prozac ?
Éthique & Liberté, depuis plus de dix ans, mène des campagnes de sensibilisation aux dangers des drogues psychiatriques qui modifient le mental. Le Prozac, à lui seul, a causé plus de réactions dangereuses que toute autre substance, selon lensemble des rapports de la Food and Drug Administration des États-Unis sur ce sujet. Pendant ce même laps de temps, les psychiatres ont continué à protester et à déclarer leurs produits sans danger. Pourquoi refusent-ils de reconnaître les preuves toujours plus nombreuses qui montrent que leurs drogues tuent ? La réponse est simple : comme les paparazzi qui pourchassaient Diana, ils ont une industrie de milliards de dollars à soutenir.
Si vous souhaitez recevoir des documents sur les dangers liés aux drogues psychiatriques, écrivez à Éthique & Liberté, 7, rue Jules César, 75012 PARIS.
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