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Éthique & Liberté - Le journal des Droits de l'Homme de l'Église de Scientologie
L’apologie du soupçon  

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L’HÉRITAGE RELIGIEUX
DE LA SCIENTOLOGIE

 

Nous voulons mettre à la disposition du public une véritable information sur la religion de Scientologie afin que chacun puisse découvrir ce dont il s’agit vraiment.

Dans le cadre d’une vaste campagne d’information, l’Église a édité un ouvrage encyclopédique sur la religion de Scientologie, intitulé Qu’est-ce que la Scientologie ?, l’ouvrage le plus exhaustif et le plus fiable sur le sujet.

Dans chaque numéro d’Éthique et Liberté, nous publions un chapitre extrait de cet ouvrage, afin de faire mieux connaître les principes de cette religion et leurs applications.

Dans notre précédent numéro, nous avions présenté un extrait du Chapitre 6, Un pont vers une vie meilleure.

Ce qui suit est un extrait du Chapitre 2, L’héritage religieux de la Scientologie. Il donne un premier aperçu de la genèse de la Scientologie et explique comment elle s’inscrit dans la tradition philosophique et religieuse la plus ancienne. En effet, sans l’héritage de 50 000 ans de pensée humaine, le sujet de la Scientologie n’aurait pas pu être développé.

 

 C onstruire un monde meilleur a toujours été, à travers l’histoire, le credo de chaque mouvement religieux. En fait, c’est toujours à la religion qu’est revenu le rôle d’être l’influence civilisatrice sur cette Terre.

 

Une tradition millénaire

La notion que l’homme est un esprit est aussi vieille que l’homme lui-même. L’idée que l’homme est un animal comme un autre, un simple mécanisme d’excitation-réflexe, est apparue très récemment avec la psychologie, liée à la culture occidentale. Ces affirmations sont contraires à toutes les traditions religieuses, qui, chacune à leur manière, parlent de l’âme, de l’esprit ou de la force vitale, exprimant une croyance propre à toute civilisation digne de ce nom.

La religion de Scientologie suit elle-même cette tradition transmise de siècle en siècle, celle de l’homme à la recherche de son identité spirituelle. En Scientologie, l’individu lui-même est considéré comme un être spirituel, un thétan. Ce terme a été emprunté au symbole ou à la lettre grecque thêta qui a longtemps représenté la pensée ou l’esprit. Ainsi la Scientologie, bien qu’étant un nouveau mouvement, a hérité d’une pensée qui existe depuis le début de l’histoire, et selon laquelle l’homme est un être spirituel qui aspire à comprendre et à améliorer la vie. La route fut longue, mais le but est atteint car la Scientologie offre aujourd’hui les réponses à ceux qui viennent les chercher.

 

Des cavernes aux pyramides

L’homme préhistorique dessinait des taureaux et d’autres animaux au fond des grottes de Lascaux, 15 000 ans avant Jésus-Christ. Il était convaincu que ces représentations attireraient les animaux vivants et lui garantiraient ainsi une chasse fructueuse.

15 000 ans avant Jésus-Christ, l’homme préhistorique était convaincu que ces représentations attireraient les animaux vivants et lui garantiraient ainsi une chasse fructueuse.
Tout comme cet homme préhistorique qui essayait de vaincre le taureau furieux avec sa lance primitive, les êtres humains ont essayé depuis des temps immémoriaux, de se comprendre, de comprendre leur relation avec les autres formes de vie et avec l’univers matériel. Tous ces messages, transmis à travers les âges par les peintures murales, les inscriptions sur des tablettes de pierre ou les anciens mythes, sont les témoignages de cette quête.

En dépit de tout le mystère qui l’entourait, l’homme sentait d’instinct qu’il était bien plus qu’un simple animal sauvage de la forêt, bien plus qu’un être de chair et de sang. Il savait qu’il était animé par un souffle divin, qu’il était un être spirituel.

L’Égypte ancienne possédait une telle sagesse. Elle fut l’une des premières grandes civilisations et sa culture dura vingt-sept siècles. Les Égyptiens furent parmi les premiers à vaincre la peur profondément ancrée en l’homme à l’égard des esprits ancestraux, et à prôner l’idée que chacun devrait pourvoir à sa propre vie après sa mort, afin de s’assurer de son bonheur dans l’au-delà.

Malgré leurs progrès considérables dans le domaine des sciences physiques, leur sens remarquable de l’organisation, leur art et leur architecture monumentale, les Égyptiens ne surent pas empêcher le déclin de leur société. Minés par l’immoralité et la décadence, ils devinrent rapidement trop faibles pour résister aux assauts de Rome.

À peu près à l’époque où les Égyptiens érigeaient leurs maisons d’éternité, les premiers philosophes de l’Inde commençaient à débattre des questions fondamentales de la vie. Leurs révélations furent transmises à l’origine sous forme de poèmes et d’hymnes dans les Vedas, il y a quelque dix mille ans.

 

La réincarnation

La très ancienne doctrine de la transmigration (ou réincarnation) compare la vie à une rivière dont les flots s’écoulent éternellement, sans début ni fin. Elle semblait, à l’origine, expliquer les problèmes dont l’Inde était affligée. Avec la perspective de vivre plusieurs vies, les adeptes de cette doctrine se disaient qu’ils avaient tout leur temps et autant de chances d’atteindre la connaissance. Mais cela ne faisait rien pour adoucir le sort des foules misérables.

Siddhartha Gautama proclama que l’homme est un être spirituel qui peut atteindre un tout nouveau niveau de conscience qu’il appela bodhi. C’est pourquoi, aujourd’hui encore, on l’appelle le Bouddha et on le vénère pour avoir civilisé la plus grande partie de l’Asie.

Certains chefs religieux, inquiets de voir que l’indigence ne faisait qu’empirer, commencèrent à remettre en question la doctrine traditionnelle. Siddharta Gautama, fils d’un riche radjah hindou, passa plusieurs années à la recherche des vérités fondamentales et déclara que l’homme pouvait vivre selon un Sentier lumineux, entre les extrêmes du plaisir des sens et de l’ascétisme rigoureux. L’homme, proclama-t-il, est un être spirituel qui peut atteindre un tout nouveau niveau de conscience qu’il appela bodhi.

C’est pourquoi, aujourd’hui encore, on l’appelle le Bouddha et on le vénère pour avoir civilisé la plus grande partie de l’Asie. Il n’a malheureusement pas vraiment laissé de véritables méthodes permettant à d’autres d’atteindre les états dont il parlait.

 

De nouvelles voies de recherche

En Perse et dans une grande partie du monde antique, les philosophes et les religieux continuaient leur quête, aspirant à découvrir enfin la véritable nature de l’homme, étudiant même les mouvements du soleil et des étoiles dans l’espoir d’y découvrir les clés du mystère de la vie.

Au septième siècle avant Jésus-Christ, Zarathoustra, issu d’une famille de prêtres, était convaincu d’être un prophète. Contraint de quitter sa terre natale à cause de ses enseignements, il se réfugia auprès du roi Vishtâspa à l’est de l’Iran. C’est là que prit naissance la religion perse du zoroastrisme. Elle prônait la définition du bien et du mal comme seul espoir de se libérer de l’ignorance et de parvenir au bonheur dans l’au-delà.

Le manuscrit du philosophe chinois Lao-tseu, le Tao-tö-king, devint la base du taoïsme et l’homme y vit un autre espoir dans sa quête vers des états plus élevés.

Un siècle plus tard, le philosophe chinois Lao-tseu avançait que le monde change selon un schéma divin qui se reflète dans les mouvements rythmes et ordonnés de la nature. Consterné par la corruption des politiciens et par la décadence de la société, il vit que l’homme devait lutter pour être bon, plutôt que de simplement laisser sa bonté naturelle s’exprimer d’elle-même. Enfin, sa déception fut si grande qu’il préconisa un retour à l’âge d’or et à des valeurs plus simples, et décida de se retirer loin du monde. Cependant, au moment de quitter la ville, le gardien de la cité implora Lao-tseu de ne pas partir avant d’avoir consigné ses idées par écrit pour les générations futures.

Son manuscrit, le Tao-tö-king, devint la base du taoïsme et l’homme y vit un autre espoir dans sa quête vers des états plus élevés. Tao signifie simplement voie ou voie à suivre. Et cette voie doit suivre le mouvement de l’univers, un univers auquel l’homme est inextricablement lié. Lorsque les hommes vivent conformément à leur état naturel, ils obéissent aux principes d’interdépendance et d’interaction de toutes les lois universelles, maintenant ainsi une harmonie et un équilibre parfait. D’après le Tao, c’est là l’unique voie. Il n’en existe pas d’autre.

Malheureusement, le taoïsme n’a pas procuré un moyen qui permette de réellement accéder à cette parfaite harmonie. Et aucune autre tentative ne fut entreprise en ce sens, car dans son essence la voie soutenait que ces vérités fondamentales ne pouvaient être exprimées par des mots et ne pouvaient être comprises que par l’expérience. Ces principes restèrent donc une connaissance ésotérique.

Les religions n’ont jamais eu qu’un seul et unique but : discerner l’essence véritable de l’homme et de
sa relation
avec l’univers.
Lorsque l’oracle de Delphes proclama que le philosophe grec, Socrate (470 ?-399 avant J.-C.), était l’homme le plus sage du monde, Socrate répliqua qu’il n’était sage que dans la mesure où il savait qu’il ne savait pas. Il pensait que l’homme avait le droit de chercher sa propre vérité et que, grâce à une meilleure intelligence des choses, il serait plus heureux et deviendrait plus tolérant. Socrate pensait que Dieu lui avait confié la mission de rendre ses semblables conscients de leur propre ignorance, et de leur faire comprendre que la connaissance pouvait les sauver. Socrate soutenait que ni lui, ni personne, n’avait le droit d’imposer une opinion à autrui. On se devait au contraire, enseignait-il à ses disciples, de tout questionner systématiquement, et ainsi se défaire de ses préjugés et arriver à ses propres conclusions. Il s’érigeait contre le mensonge et la vanité, mais ses critiques, son ironie et son honnêteté intellectuelle furent mal comprises car elles défiaient l’autoritarisme des penseurs de l’époque.

Les méthodes de Socrate, comme celles de beaucoup d’autres philosophes avant lui, remettaient en question les croyances établies. En conséquence, en 399 avant J.-C., il fut accusé d’impiété envers les dieux et de corruption de la jeunesse. Condamné à boire la ciguë, un poison amer et mortel, il choisit de mourir plutôt que d’abandonner sa position contre la tyrannie et l’oppression de la vérité.

S’écartant de plus en plus de la voie de la vérité philosophique, aveuglée par ses préjugés, la civilisation grecque, pourtant très avancée, précipita sa chute de façon prématurée et inévitable. Conquises par l’Empire romain, ses villes furent ensuite saccagées par les barbares.

 

Il y a 2 000 ans, Jésus de Nazareth apporta un nouvel espoir à l’homme en prêchant que cette vie n’était pas sa seule perspective, qu’il n’était pas seulement un être de chair et de sang, et qu’il continuerait à vivre après sa mort. Ce message contenait la promesse que l’homme serait sauvé du tourment et pourrait trouver la paix éternelle.
La tradition judéo-chrétienne

A l’instar des philosophes de la Grèce, de l’Inde et de la Chine, les Hébreux ont eux aussi tenté de trouver un sens à la vie. D’après la tradition juive, Abraham fut le premier à concevoir ce qui est au centre de l’univers. C’est de cette révélation que naquit une croyance en un dieu protecteur. Derrière l’incroyable diversité des formes de vie, il n’y avait qu’un seul but, une seule réalité. Le judaïsme est la religion mère du christianisme et de l’islam, toutes trois étant les croyances dominantes de l’Occident et du Moyen-Orient. Il y a 2 000 ans, Jésus de Nazareth apporta un nouvel espoir à l’homme en prêchant que cette vie n’était pas sa seule perspective, qu’il n’était pas seulement un être de chair et de sang, et qu’il continuerait à vivre après sa mort. Ce message contenait la promesse que l’homme serait sauvé du tourment et pourrait trouver la paix éternelle. Contrairement aux enseignements de Jésus, la croyance traditionnelle des rabbins prêchait que le salut ne viendrait qu’après l’avènement du Messie, dans un lointain futur. L’attrait du message du Christ résidait dans l’affirmation que l’on pouvait accéder au royaume de Dieu mais qu’il se trouvait aussi en chacun de ceux qui avaient la foi.

Les Romains, qui redoutaient depuis longtemps une révolte populaire, virent en la parole du Christ une insurrection politique. Rome ayant décrété que rien n’était supérieur à l’ordre impérial, le message du Christ, et particulièrement son idée d’un royaume futur, fut pris à la lettre et perçu comme dangereusement révolutionnaire, alors qu’il n’était que spirituel.

Le Christ a été crucifié, mais l’espoir qu’il a apporté à l’homme, lui, n’est pas mort. Bien au contraire, sa mort, en devenant le symbole du triomphe de l’esprit sur le corps, engendra une nouvelle prise de conscience de la véritable nature de l’homme.

Malgré leur toute puissance militaire, les Romains n’ont jamais reconnu le véritable potentiel de l’homme, ou trouvé des méthodes pour le développer, et, suivant l’exemple d’un grand nombre d’empires avant eux, ils périrent.

 

Bouddhisme et Islam

Malheureusement, les sciences humaines n’ont pas progressé
au même rythme que les développements scientifiques.
A l’époque même où le Christ enseignait au Moyen-Orient, les premiers moines bouddhistes arrivèrent en Chine. Le bouddhisme devint populaire sous la dynastie des Han (206 avant J.-C. - 220 après J.-C.). Il enseignait l’indestructibilité de l’âme, la théorie du karma et des valeurs morales comme la charité et la compassion. Le bouddhisme se propagea en Chine, intégrant certaines philosophies pratiques et terre-à-terre de la Chine ancienne. Il réussit à enseigner à l’homme la voie de l’illumination spirituelle, en dépit de la résistance des taoïstes et, plus tard, de la répression de l’État, qui fera détruire des centaines de monastères, forçant des centaines de milliers de moines et de religieuses à retourner à la vie laïque.

Malgré toutes ces tentatives d’oppression, la croyance en la nature spirituelle de l’homme prit un essor encore plus grand au sixième siècle avec l’arrivée du prophète Mahomet. Prêchant l’existence d’un Dieu unique, Mahomet tenta de civiliser une nation entière. Il enseigna la suprématie du spirituel sur le temporel et conjura l’homme de chercher son propre salut. Son message, perçu comme une menace pour les revenus de La Mecque, provoqua finalement son exil.

Cependant, moins de huit ans après, il effectua un retour triomphal et entama sa guerre sainte contre les infidèles. Il fonda l’islam dont l’immense empire s’étendra de l’Espagne aux frontières de la Chine.

 

Des croisades à l’Inquisition

Par la suite, les croisades, entreprises par l’Europe chrétienne au nom de la religion décimèrent ses populations pendant des centaines d’années et entraînèrent des dizaines de milliers de personnes dans de continuelles effusions de sang. Les croisades furent néanmoins à l’origine d’un échange culturel important. Des hommes qui n’avaient jamais voyagé au-delà des limites de leurs terres, de leur village ou de leur fief, découvrirent soudain un monde complètement nouveau de l’autre côté de la Méditerranée.

Mais la fin du quinzième siècle vit apparaître l’Inquisition qui chercha elle aussi à réprimer la raison naturelle de l’homme et son élan vers la connaissance spirituelle. Ceux qui adhéraient à des croyances estimés inacceptables par l’Église catholique étaient jugés et torturés jusqu’à ce qu’ils renoncent à leurs croyances hérétiques.

Celui qui passait pour avoir des idées étranges ou différentes courait le risque d’être accusé de blasphème ou même de sorcellerie et d’être brûlé sur un bûcher s’il refusait de suivre les croyances établies.

Léonard de Vinci était un homme remarquable, peintre de grand talent, ingénieur, astronome et botaniste. Constamment raillé par les ignorants et les fanatiques de son époque, il fut l’un des initiateurs de la Renaissance et d’une nouvelle ère de découvertes scientifiques.
Le philosophe grec, Socrate (à droite) (470 ?-399 avant J.-C.) Il pensait que l’homme avait le droit de chercher sa propre vérité et que, grâce à une meilleure intelligence des choses, il serait plus heureux et deviendrait plus tolérant. Son ironie et son honnêteté intellectuelle furent mal comprises car elles défiaient l’autoritarisme des penseurs de l’époque.

    Mais rien ne pouvait arrêter le désir de l’homme de se comprendre lui-même et de comprendre le monde qui l’entoure. Des hommes comme Léonard de Vinci poursuivirent leur recherche dans l’espoir de trouver des réponses. C’était un homme remarquable, peintre de grand talent, ingénieur, astronome et botaniste. Constamment raillé par les ignorants et les fanatiques de son époque, il fut l’un des initiateurs de la Renaissance et d’une nouvelle ère de découvertes scientifiques. A cette époque, toute recherche était suspecte, même des études en apparence très inoffensives, et devait être entreprise avec la plus grande circonspection, car l’œil de l’Inquisition était partout. Aussi Léonard de Vinci prit-il la précaution de rédiger la plupart de ses notes de façon qu’elles ne puissent être lues qu’avec l’aide d’un miroir.

    Au seizième siècle, Galilée osa remettre en question des croyances solidement ancrées en soutenant la théorie de Copernic selon laquelle la terre tourne autour du soleil et non l’inverse. L’Inquisition, toujours active, l’accusa d’hérésie.
    Au seizième siècle, Galilée osa remettre en question des croyances solidement ancrées en soutenant la théorie de Copernic selon laquelle la terre tourne autour du soleil et non l’inverse. L’Inquisition, toujours active, l’accusa d’hérésie, et le condamna à une peine de prison illimitée pour son crime. Ce n’est que lorsqu’il renonça à la théorie copernicienne qu’il fut autorisé à retourner dans sa villa. Totalement brisé, il fut condamné par les maîtres de l’Inquisition à passer le restant de ses jours en résidence surveillée.

     

    Une religion du XXe siècle

    Mais la sagesse et les valeurs spirituelles ne peuvent être opprimées éternellement. De tous temps, les hommes ont recherché la liberté spirituelle. Toutes les quêtes individuelles, toutes les philosophies, toutes les religions n’ont jamais eu qu’un seul et unique but : discerner l’essence véritable de l’homme et de sa relation avec l’univers.

    Malheureusement, les sciences humaines n’ont pas progressé au même rythme que les développements scientifiques. L’homme s’est préoccupé essentiellement des problèmes matériels au détriment des sciences humaines.

    Peut-être aura-t-il fallu que surgisse cette menace de destruction ultime pour qu’apparaisse aussi l’espoir suprême : une religion du vingtième siècle qui utilise une technologie offrant vraiment des résultats et qui permette à l’homme de se comprendre et de comprendre ses semblables.

    Grâce à la Scientologie, l’homme peut enfin trouver des réponses aux questions qu’il s’est toujours posées et parvenir à une véritable liberté spirituelle.

 
 
 
 
 

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